Géobiologie

Une approche de la géobiologie au sens large

La définition de ce qu’est la géobiologie est encore peu claire dans notre société, du fait de la multitude de courants et de solutions proposées.

L’approche de la géobiologie par BIOSECO cherche à englober tout ce qui a trait à l’amélioration de la qualité de vie dans un habitat, un lieu de travail, une surface commerciale ou un terrain (constructible ou agricole):

• réduction de l’électrosmog (ondes électromagnétique basse et haute fréquence, générées par les occupants d’un lieu ou par l’environnement proche ou lointain)
• analyse du cosmotellurisme (cours d’eau souterrains, failles et cavités, résilles négatives, cheminées, vortex, …)
• nettoyages énergétiques (mémoires du sol, des murs, des objets, ondes de forme…)
• analyse de paramètres d’écobiologie (qualité des matériaux de construction, qualité biologique et chimique de l’air, …)

Certains de ces thèmes sont abordés par le praticien géobiologue avec des outils de mesure électroniques (électrosmog, écobiologie), alors que d’autres font appel à la radiesthésie par le biais de baguettes coudées ou d’un pendule (cosmotellurisme, nettoyages énergétiques).

Envisager d’agir sur cinq domaines plutôt qu’un ou deux favorise des gains en qualité de vie souvent plus significatifs et plus rapides.

Réduire notre exposition à l’électrosmog, le défi du 21^ième siècle.

Il s’agit dans un premier temps de recenser les sources d’électrosmog tout en vérifiant leur niveau, principalement autour des endroits stationnaires (lits, sofa, poste de travail):

• champs magnétiques et champs électriques à proximité du câblage et des prises électriques (réseau 220V),
• sources principales d’ondes électro-magnétiques (OEM) hautes fréquences à l’intérieur du périmètre analysé (box, Wifi, domotique, …),
• sources principales d’ondes électro-magnétiques hautes fréquences à l’extérieur du périmètre analysé (antennes de téléphonie, Wifi du voisinage, Wimax, lignes électriques haute tension…)

Réduire son exposition à l’électrosmog consiste à recommander des changements de comportement aux habitants et occupants des lieux. Mais aussi à diminuer l’exposition, par le biais d’actions techniques:

• remplacement du wifi par un câblage Ethernet,
• blindage de câbles électriques,
• optimisation de la configuration des appareils émetteurs
• renforcer la mise à la terre de certains appareils électriques
• etc.

Détecter et atténuer les nuisances cosmotelluriques

Détection des phénomènes cosmotelluriques dommageables pour la santé des occupants du lieu. Il s’agit principalement des cours d’eau et failles souterraines et de certaines résilles (réseau Hartmann, Curry).

Selon le contexte, proposition est faite soit de réaménager son intérieur, soit de neutraliser ces phénomènes.

Réaménager son intérieur consiste à placer sur des zones neutres du point de vue tellurique, lorsque c’est possible, les lits ainsi que sièges ou sofas les plus utilisés.

Neutraliser une nuisance cosmo-tellurique se fera par la soit par la pose de plaques métalliques dans les locaux ou de pierres dans les terrains, afin d’atténuer suffisamment l’effet de ces phénomènes, à l’intérieur du périmètre analysé.

Phénomènes énergétiques et ondes de formes

Certains lieux et habitats, en particulier ceux qui ont une longue histoire, peuvent avoir un effet négatif sur l’un ou l’autre des occupants. Il peut s’agir d’une sensation de lourdeur, d’un mal-être, d’un sommeil perturbé. Ces effets résistent souvent à toute tentative d’amélioration par les mesures « classiques » contre l’électrosmog et les nuisances cosmotelluriques. Ces phénomènes étant intimement liés à des lieux ou des objets, il est donc indispensable de les « nettoyer » de leurs imprégnations ou mémoires négatives.

Les ondes de formes proviennent d’objets ou d’éléments de construction particuliers, leurs effets peuvent être atténués par un déplacement, par la pose d’un écran, ou par le déplacement d’une position stationnaire exposée (lit, sofa, bureau…). Parfois, c’est l’enveloppe du bâtiment qui pose problème, il est alors difficile ou impossible d’agir, du moins à moindres frais…

Un zeste d’écobiologie et d’écologie

Dans toute construction, il y a des paramètres pouvant influer sur le bien-être et la santé de ses occupants, cela peut être:

• la présence de moisissures, l’accumulation de radon, l’excès de CO₂,
• les matériaux, peintures, colles et laques utilisés dans la construction ou pour le mobilier,
• le type de panneaux solaires en toiture (onduleur intégré, mis à la terre déficiente),
• l’excès d’électricité statique due aux matériaux du sol,
• une mise à terre électrique du bâtiment insuffisante,
• etc…

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